La Direction de La Source, ainsi que la HES-SO, condamnent fermement le harcèlement sexuel et sexiste, tout comme les autres types de harcèlement. Elles s’engagent activement à lutter contre ce fléau et à le prévenir. Elles réprouvent toute atteinte à la personnalité, toute forme de discrimination, de violence, ainsi que de harcèlement sexuel ou de sexisme.
Cependant, ses efforts pour offrir un environnement sûr aux étudiant·es durant leur cursus de formation ne peuvent éviter totalement que certaines et certains soient témoins ou victimes de ce type de situations.
Pour soutenir les étudiant·es, La Source met à leur disposition le dispositif Ré-Agir. Ce dispositif vise à agir contre toute situation de harcèlement, de violence ou de maltraitance signalée et à accompagner l’étudiant·e dans ses démarches internes.
« A la HES-SO, chaque situation de harcèlement est inadmissible et c’est la tolérance zéro qui s’applique »
Note: Un dispositif similaire est également à disposition du personnel de La Source, il est détaillé sur l’intranet.
-> contactez le dispositif Ré-Agir
La personne de confiance de l’institution, M. Pascal Gemperli est le répondant externe pour la prise en charge de ces situations :
De par son statut d’externe à l’institution, sa formation et son expérience, M. Gemperli est à même de traiter les situations les plus compliquées. Il est tenu à la confidentialité et n’indiquera à l’École que le nombre de cas qu’il traite.
Des personnes-ressources internes à La Source peuvent également recueillir les témoignages et orienter l’étudiant·e en toute confidentialité et sans impact sur la suite de leurs études:
Lorsqu’un·e étudiant∙e se sent victime, est témoin ou a connaissance d’une situation de harcèlement, de violence ou de maltraitance dans le cadre de ses études (stage, cours, vie estudiantine), elle·il peut contacter le dispositif Ré-Agir. La situation peut être récente ou ancienne; il n’y a pas de prescription par rapport aux évènements perçus ou vécus.
Dans tous les cas, les informations sont recueillies de manière rigoureuse et sans jugement. Les suites données peuvent varier selon chaque cas et en fonction de ce que souhaite entreprendre l’étudiant·e concerné·e. En tout état de cause, un accompagnement bienveillant et professionnel est garanti.
Les témoignages sont traités de manière confidentielle. Suivant la gravité des faits, une enquête interne ou externe est menée et la Direction entreprend les démarches appropriées qui peuvent aboutir à des sanctions internes ou pénales.
Pour rappel, l’article 80a alinéa 1 de la loi sur la Santé Publique précise qu’il y a obligation d’annoncer des cas de maltraitance ou de soins dangereux au médecin cantonal.
Voici quelques exemples de situations de harcèlement:
Cette liste n’est pas exhaustive.
Quel que soit le lieu, à l’intérieur de l’École (cafétéria, salles de cours, salles de pause, les couloirs, les halls et ascenseurs), sur le lieu de la formation pratique, dans les fêtes estudiantines, ou même à l’extérieur des bâtiments, dans le domaine public, durant vos loisirs ou à la maison, les étudiant·es peuvent faire appel au dispositif Ré-Agir.
Les comportements harceleurs émanent souvent de pairs: autres étudiant·es pour les étudiants. Il existe néanmoins des situations où les auteur·es ont une position hiérarchique ou dominante, telle que: personnel-étudiant·es. Tous les cas sont inadmissibles, quelle que soit la position respective de l’auteur·e et de la victime.
Lorsqu’il s’agit de déterminer si certaines situations représentent du harcèlement sexuel ou sexiste, par exemple lors de remarques dégradantes ou de plaisanteries sexuelles, il se peut que vous ayez des doutes. Dans de tels cas, n’hésitez pas à consulter le dispositif interne.
Le dispositif Ré-Agir est là pour vous. Osez y faire appel!
«Les personnes ayant fait appel au dispositif mis en place par leur école sont satisfaites de la prise en charge. Elles ont été rapidement prises en charge, ont été écoutées et prises au sérieux.»
«Leur cas a été traité avec la confidentialité et la discrétion nécessaire.»
«Les personnes ayant fait appel au dispositif recommandent à d’autres victimes ou témoins d’y faire appel.»